Lors de la campagne municipale, le groupe FN «Castres Bleu Marine» s’était engagé, s’il était élu, à combattre le communautarisme. Notre République est minée par ces revendications. Nous devons tous ensemble rappeler sans faillir les règles du jeu : ici, c’est la France et seules nos lois ont vocation à s’appliquer.
Déjà au mois d’avril, un mariage «communautaire» avait défrayé la chronique. La presse locale avait beaucoup parlé des événements de Burlats avec l’intervention musclée de 25 gendarmes, mais cela avait en réalité commencé à la mairie de Castres. Là les invités avaient laissé le «souk», puis le cortège de grosses cylindrées, scooters et quads, aux couleurs « vert et rouge» avait dégénéré en rodéo dans les rues de notre ville. Pour finir l’entrée du pont Biais avait été bloqué à la circulation, et pendant que les castrais dans leur voiture prenaient leur mal en patience… un groupe folklorique oriental faisait danser les mariés.
Ce premier samedi d’octobre, même causes, mêmes effets… Un mariage sous haute surveillance policière. Tout recommence à la mairie de Castres, de très nombreux drapeaux Algériens et Marocains, des grosses cylindrées tantôt bloquant la circulation tantôt roulant à vive allure avec «des djeunes» assis sur les portières et brandissant leurs drapeaux étrangers.
Ces agissements deviennent insupportables pour nos concitoyens. Il faut empêcher ces actes provocateurs, véritables bras d’honneur à la communauté nationale. Le déploiement de drapeaux étrangers, notamment à l’occasion des compétitions sportives ou de mariages, doit être interdit par la loi.
Jean-Paul PILOZ, Sandrine GAUDIMIER.
Les élus Front National « Castres Bleu Marine »