Ils ne pouvaient pas prévenir ces événements dramatiques alors ils feignent d’en maitriser l’impact. Hélas pour nos concitoyens, après quarante ans de déni, leur campagne de manipulation pour l’unité nationale tourne maintenant à la division. Le Premier Ministre de la République, Monsieur VALLS, dénonce : un apartheid territorial, social et ethnique en oubliant, peut être volontairement, le mot religieux. Nos compatriotes réagissent à juste titre et lui répondent que le « VALLS déborde ». Auto-flagellations et repentances à répétition, ça suffit !
Nous lui reconnaissons pourtant la justesse de son constat, il abonde dans notre analyse venant ainsi conforter la position défendue par le Front National depuis des décennies. « CQFD » ! La démonstration en est faite par l’échec des politiques de la ville et de l’intégration menées depuis quarante ans par le trio « droite-centre-gauche », ceci malgré les milliards dépensés en pure perte. En laissant des minorités imposer leurs lois dans certains quartiers castrais, en contraignant les honnêtes gens à libérer l’espace, nous sommes en droit de nous demander si nos édiles ne concourent pas à la justification du mot « apartheid ». Pour preuve, l’exemple de cette veuve castraise, ayant perdu son mari militaire en Afghanistan, qui a vu en quelque mois sa maison cambriolée et sa voiture brulée. Si elle n’avait pas été propriétaire, elle aurait immédiatement déménagé et abandonné le terrain. Voilà comment on laisse insidieusement se créer l’apartheid territorial.
Les élus Front National « Castres Bleu Marine »
Jean-Paul PILOZ, Sandrine GAUDIMIER.