Climat social et politique délétère : pour le gouvernement, pas de révoltés, que des fascistes !
Editorial de Steeve Briois, Secrétaire Général du Front National dans la Lettre du Front du 14/11/2013
Quand on est incapable d’endosser ses propres responsabilités, il faut bien trouver des boucs émissaires qui assumeront pour les autres. Le gouvernement, bien décidé à ne pas entendre la colère qu’exprime notre peuple, a choisi de faire la sourde oreille et de cataloguer ses opposants de fascistes, sans faire de tri !
Les élans de protestations qui ont ponctué les commémorations du 11 novembre n’étaient donc, à entendre les socialistes, que de l’activisme crypto-fasciste. Ils sont tellement acculés qu’ils n’ont plus que le point Godwin comme stratégie de défense !
Ne leur en déplaise, la révolte qui gronde n’est pas idéologique, elle est populaire. Les manifestants et les opposants, pour la plupart, ne sont pas des militants politiques. Bonnets rouges, parents d’élèves, policiers et autres corps sociaux accablés par l’injustice de la politique menée par les socialistes : tous sont légitimes dans leur colère, qui si elle prend parfois le chemin de la radicalité, n’en est pas moins la conséquence du désespoir qui frappe nos compatriotes.
Un gouvernement qui dirige le pays à la trique, qui impose plus qu’il ne propose, qui préfère l’idéologie à la réalité…les « factieux » sont sans doute ceux qui désignent le peuple comme tel.